Source:psg.fr
« Un tournant essentiel »
Les Parisiens, Mickaël Landreau et Peguy Luyindula, ainsi que le capitaine nantais, Mauro Cetto, reviennent sur la victoire du PSG face à Nantes(4-0).
Mickaël Landreau (Gardien de but du PSG)
« C’était un match très important et nous avons répondu présents. Cette victoire est très importante pour le maintien. Avec ces trois points et les quatre buts, nous avons récompensé nos supporters pour leur soutien. Ils le méritent bien après cette année difficile. Nous avons également éloigné un adversaire direct pour le maintien et nous sommes donc contents. Nous ne devons pas nous enflammer et nous espérons que les autres résultats nous serons favorables. Il nous reste encore quelques matches difficiles, mais nous devons rester confiants. Après le nul important à Bordeaux (0-0), nous devons aborder le match à Toulouse avec la même envie. Nous sommes dans une bonne passe avec dix points pris sur douze possibles. Ce match est un tournant essentiel dans la lutte pour le maintien. Aujourd’hui, je suis joueur de Paris et je devais rester concentré sur la situation de mon club et non sur celui de Nantes. »
Peguy Luyindula (Attaquant du PSG)
« Nous sommes satisfaits d’avoir marqué quatre buts et pris trois points face à un adversaire direct dans la lutte au maintien. Le deuxième but leur a fait mal, mais ils ont tout tenté pour revenir. Comme ils se sont découverts, nous avons réussi à placer de bons contres et à asseoir notre avance. Cette victoire est un grand pas vers le maintien, mais rien n’est encore fait. »
Mauro Cetto (Défenseur et capitaine de Nantes)
« Nous n’avons pas réussi à marquer et nous avons souffert après le premier but parisien. Malheureusement, à 2-0, nous avons perdu nos moyens. Nous avons pourtant tenté de bien faire ! Maintenant, nous devons aller chercher au moins quatre victoires lors des cinq derniers matches pour nous sauver. Nous devons continuer à y croire et j’espère que l’ensemble du groupe y croit également. Tout le monde doit prendre conscience que nous sommes très près de la L2. Mais mathématiquement, c’est encore possible de se sauver ! »
Propos recueillis par Grégoire Lamarque